Incomprises est le résultat d’une création collective des élèves de 2nde de la classe de Madame Prieur, professeure de Lettres au lycée Jean Monnet de La Queue-lez-Yvelines, dans le cadre d’un projet à (...)
Réaliser un mini-film… avec une mini-caméra !
Avec Valeria Anzolin, artiste-intervenante formée par Benoît Labourdette, les participants sont invités à la création collective d’un mini-film sur mini-caméra avec un dispositif simple permettant à chacun d’ouvrir son imaginaire sur les thèmes de la Petite Renarde rusée et de Conte de Liberté / Journal d’un Disparu : la liberté, l’animal en nous, l’émancipation d’une femme, le désir, la communauté, le rejet, la méfiance... Faire du découpage, imaginer une histoire, prendre la mini-caméra, inventer des situations, des techniques, des effets spéciaux, comme au début du cinéma, tels sont les chemins pour s’inventer cinéaste !
Aussi étonnant que cela puisse paraître, ces petits objets, si on les utilise de la bonne manière, peuvent nous permettre de créer des films, de façon beaucoup plus professionnelle qu’on ne l’imagine. Le découvrir, c’est réaliser, en une après-midi, un mini-film. L’atelier se termine par une projection des films collectifs des participants.
Conditions techniques
- nombre de participants : 15 maximum ;
- une salle sombre / ou avec des rideaux pour faire le noir ;
- un ordinateur avec connexion internet, branché à un vidéo projecteur et des enceintes ;
- feuilles A4, feutres, stylos, ciseaux, scotch, patafix, pinces... ;
- feuilles colorées grand format.
Pocket Films
Pocket Films fut d’abord un festival de cinéma, fondé par Benoît Labourdette avec le Forum des images (Paris, 2005-2010), consacré à la création de films avec téléphones mobiles et caméras de poche. Son succès a fait que c’est devenu un nom commun : on dit un pocket film pour un film tourné avec téléphone portable ou mini-caméra.
Benoît Labourdette
Benoît Labourdette a développé des concepts d’ateliers de réalisation de films avec caméras de poche à destination de tous publics, y compris des adolescents. Très efficaces, créatifs, valorisants pour les jeunes, donc constructifs, tout en étant très ludiques. C’est une pratique qu’il a fait évoluer au fur et à mesure des évolutions des technologies, de leurs usages et de leurs problématiques, et qu’il transmet à d’autres intervenants lors de formations professionnelles.